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6h de l'Espoir

23 avril 2018

6h et marathon 10/11/208

Attention cette annee pas de 24h! La course aura lieu à Marignane Inscription sur kms Départ 10h au skeatparck de Marignane
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8 août 2017

Affiche 24h de l'Espoir 2017

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12 décembre 2016

les 24 de l'Espoir pour le #MPSPORT2017

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les 3 et 4 novembre 2017

12 décembre 2016

Evenement sur facebook

voici le lien de l'évènement sur Facebook : https://www.facebook.com/events/1677825745840784/

 

6 novembre 2016

Résultats des 24h de l Espoir

 

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26 septembre 2016

Les inscriptions sont ouvertes

Bonjour,

Les inscriptions sont en ligne sur le site kms.fr il suffit de créer un compte et de cliquer sur inscription et choisir sa course.

Sinon par mail : jlvalder@gmail.com avec le choix de la course, date naissance, nom , prénom, club,certificamédical et l adresse où envoyer le règlement vous sera donné ( chèque ordre espoir contre la mucoviscidose)

1 décembre 2015

Dates du prochain 24h de l'ESPOIR 2016

La date sera les 4 et 5 Novembre 2016 , à vos agendas

 

 

 

30 novembre 2015

Quelques recits

Gilles: 

24/6h Marseille Parc Borely 2015 : L'Espoir fait vivre et courir


Voilà, après être devenu marathonien puis centbornard, me voici circadien! Non, même si j’aime mon déguisement de clown et la compagnie de Zeclown, le circadien n’est pas l’habitant d’un cirque. Selon la définition « Le rythme circadien est l'étude d'une période de 24 heures pendant lesquelles un certain nombre de mécanismes biologiques et physiologiques se répètent. » En l’occurrence, ce fut des tours de Parc de 1km qui se répétèrent. 
Comment je suis arrivé là ? 
Comme pour les 100km de Millau, il a fallu un croisement de circonstances qui m’indique que c’est le moment de vivre cette expérience : c’est la célébration du 100ieme marathon de Crocsman, plein de clm à voir en un seul week end, c’est Crocsman, Lapinou, leur famille et amis qui organisent les courses, les montants des inscriptions et des euros/km versés par un sponsor vont à la recherche contre la mucoviscidose, Zeclown participe seul au 24h… Ok, je viens. 
Avec 5 marathons en octobre et Novembre et les 16 derniers week end avec au minimum 21km, je dois pouvoir participer décemment. Par contre, la gestion de la veille est catastrophique au niveau sportif: bière avec un ancien collèque, ciné jusqu’à 23h, repas et bagage jusqu’à 1h du mat et réveil à 5h pour le tgv à 7h à Paris puis rebière et hamburger au Vieux port avec les 1er clm jusqu’à 15h, dépose des affaires à l’hotel, 40min de sieste ou je rumine un entretien d’embauche qui vient d’être annulé, stress du sac à préparer et marche de 20min pour rejoindre le Parc Borely. 
Ouf, la course de 24h peut commencer. 

19h-1h : le marathon avec Quentin 
Nous commençons groupé avec Didier et Quentin qui a obtenu une dérogation pour faire le marathon en anticipé à 19h. Deux petits tours pour reconnaître le parcours puis nous testons notre ravitaillement personnel : une table basse avec Pastis et olives installée pour nous par Aoili. Nous le partageons avec l’organisateur qui souffle un peu après ce coup d’envoi. 
C’est parti pour de bon : nous décidons de courir avec le marathonien qui ambitionne un peu plus de 5h, cela nous va. On découvre le Parc mais de nuit, les points de repère sont les lumières des lampadaires, pas besoin de lampe frontale en cette nuit de presque pleine lune. Il y a des passants et des runners car le Parc est ouverts jusqu’à 22h je crois. On voit au loin un immeuble dont les fenêtres éclairées vont s’éteindre au fur et à mesure de la nuit. 
Vieux Lyon qui a décidé de rester sur le site alors qu’il ne cours que demain à 10h nous encourage et cours un peu avec nous. 
Comme Quentin faiblit et marche par moment ou bien du fait de pause désynchronisée, nous nous séparons par moment. A l’approche du 41ieme, nous voulions finir ensemble, Quentin s’arrête à la camionnette de chronométrage pour vérifier le nombre de tour, en l’attendant, je vais aux toilettes. Et Didier… cours très vite pour nous rattraper sur un circuit en cercle où nous ne sommes plus présent ! Il finit par nous retrouver et nous faisons le tour d’honneur du leader provisoire du marathon. 

1h-2h30 : la nuit commence 
Bon, un chapitre se finit, un autre commence. Nous sommes beaucoup moins nombreux dans le Parc : plus de promeneurs, plus de coureur de 6h nocturne, certains 24h vont se reposer un peu dans le car à l’abri du vent et peu chauffé. On continue avec Didier et les stratégies d’alternance course-marche-ravito se mettent en place. Les infrastructures sont idéales : possibilités tous les km de manger ou boire chaud, d’aller dans des toilettes toujours dispo et propres et de parler à des bénévoles ou au pire de se protéger dans le car. Si je vais courir un jour un raid, je n’aurais pas tout cela… 

2h30-3h: sans Didier parti dormir 
Didier me dit qu’il a un petit coup de moins bien et décide de se reposer ½ heure dans le car et donc de le réveiller à 3h. Je continue donc seul. Vraiment peu de monde sur la boucle, à moins que l’on soit tous à la même vitesse et réparti équitablement ? 
Je me confirme mon 1er objectif : ne pas dormir et rester 24h sur la boucle ! les km, je verrais après car peut être que la stratégie pour les km est de se reposer vraiment et de courir mieux, mais bon, ce n’est pas une course à km même si c’est eux qui font le classement mais une course de temps : ce sont les 24h de l’Espoir. 
Continuons en pensant à Audiard : « Deux intellectuelles assis vont moins loin qu’une brute qui marche » 
Je prends donc quelques kilomètres d’avance sur Didier avant de monter dans le car complètement obscur et silencieux : j’arrive à reconnaître Didier grâce au buff clm. 

3h-6h : objectif 80km malgré un grand froid 
Après quelques tours de marche, Didier retrouve un rythme de course. Moi, j’ai du mal : il fait vraiment froid : 1°, je crois et un ressenti négatif. J’ai les lèvres gercées, je mets un blouson mais le problème est que quand je cours, j’ai chaud et je transpire et quand je m’arrête pour marcher ou boire, la sueur devient glaciale. Le nez coule, la gorge s’assèche. Il faut tenir encore pendant 4h avant le soleil, le réchauffement et l’arrivée des amis et des autres coureurs. C’est peut être les heures les plus dures. 
Je grelotte : une femme de l’équipe d’Hervé Seitz, Keltoum, je crois, m’a encouragé à chaque tour en positivant tout : « allez Arlequin, tu as raisons de marcher, de courir, ton amis le clown est juste devant… » .Je faisais parfois le tour dans la solitude en pensant à ces quelques secondes d’encouragement. MERCI. Je fus très déçu quand on m’a dit que Hervé avait abandonné et en les voyant partir au petit matin sans pouvoir les remercier. 
Il faut que je me donne un objectif kilométrique maintenant : cela permet de rythmer et en y arrivant cela valorise. Je demande à Didier comment l’estimer et j’arrive à penser à un objectif de 80km pour 6h. 
J’y suis arrivé ! 

6-9h : 100km au petit jour avant le début du marathon 
Peut être le meilleur moment de la course : pas de douleur, le jour se lève, le soleil va réchauffer, les coureurs reprennent tous et le décompte vers les 100km est très positif. 
Je m’aperçois qu’avec le jour, je vais enfin voir le Parc dans lequel je cours depuis 13 heures. He bien il est beau : il y a des roses, une pergola, des palmiers… 

9h-10h30 les retrouvailles clm et 3km seulement 
Je fais mon 100ieme tour avec la bouteille de Pastis à la main pour marquer le coup. J’arrive au 100km à 9h15, donc idéal pour profiter du ravitaillement où des tartines et de la confiture ont fait leur apparition et voir mes amis de Courir Le Monde. 
Didier rejoint le groupe des marathoniens et nous faisons un écart par rapport à la piste des fameux 195m. (qu’il faudra refaire avec Didier dans l’autre sens, non comptabilisé puisque notre mesure est le tour de piste) 
Sur cette période, je n’aurais effectué qu’environ 3 km. 

10h30-11h40 : très dur de se remettre en marche 
Bon, faut s’y remettre, d’abord en marchant puis en trottinant mais c’est dur de se relancer car les marathoniens vont trop vite, je suis au début de la centaine : ce n’est pas un chiffre motivant, il reste encore 8h de course… 

11h40-12h : la remise en cause dans le car 
Je vais dans le car 20 minutes en m’asseyant à coté d’une vitre pour voir passer les coureurs : notamment Didier plusieurs fois, il a retrouvé la gniac. L’objectif est de faire le point et de me projeter sur l’après midi : qu’est ce que je veux atteindre comme km ? Comment y arriver tactiquement ? Comment le vivre humainement ? 

12h-15h : c’est reparti 
C’est reparti : j’ai l’objectif de 142 en tête (un cent-borne et un marathon), il fait beau, chaud, les marathoniens fatiguent un peu, des promeneurs visitent le Parc. Je partage parfois sur cent mètres d’autres fois sur le tour entier notamment avec Pierrette, Grenouille et Didier. 

15h-16h un grand coup de boost 
Entre 15h et 16h, je produis un gros effort : plus que 4 h de course, je peux en garder moins sous le pied et c’est cet effort qui me permettra de voir si c’est 142 ou 150 comme le pense Pink Runner qui me sont destinés. Je suis très bien, c’est même dommage car je rate les célébrations au champagne (et à la bière) des clm qui ont finis et qui fêtent Crocsman. En plus (au plutôt en moins) : j’ai mis de la musique pour me motiver et je n’entends pas tous les encouragements des clm à chaque tour : mais je les devine ! MERCI. 

16h- 17h : calcul du plan de bataille et retour de la nuit avec vent 
Je freine mon euphorie car je sais que je ne tiendrais pas 3h avec le retour de la nuit et d’un terrible vent qui est tourbillonnant et désagréable de feuilles et de poussières. 
Je fais mes calculs : si j’arrive au 140 à 17h, il me restera 2h pour les 10 derniers : en marchant au pire et sans m’arrêter, ça passe ! 
Je suis à 141km à 17h. 

17h-17h40 : marche avec Angeline « tutu vert » et Francine 
Je décide de marcher pour me faire moins mal. J’engage la conversation avec une femme que j’ai beaucoup admiré toute la journée pour sa détermination, son vert flashy et qui ne doit pas être loin du même kilométrage (effectivement, elle finira à 148km). Elle marche très vite grâce à un harmonieux et déterminé mouvement de bras. En discutant, on s’aperçoit que l’on s’était vu à Millau l’an dernier : moi en clown, et elle en mariée ! Effectivement, c’est mémorisable. 
Francine nous rejoint dans la même allure de marche. 

17h40-18h : dernière course 
Les filles vont trop vite pour moi en marchant ! Je décide donc de recourir en alternance pour approcher de l’objectif le plus vite et au pire avoir le temps de faire face à l’imprévu car là vraiment si je ne fais pas 150 mais 148 ou pire 149, c’est un échec. 
Je suis à 147 à 18h. Je m’autorise un détour à la buvette. 

18h-18h28 : les 3 derniers en marchant : avec Grenouille et le derniers avec Vieux Lion 
Là, je ne peux plus courir : la nuit et le froid ont fini de refroidir les derniers muscles qui acceptaient encore de soulever les jambes. J’ai peur d’une déchirure ou d’un claquage. Pas grave, l’effort a été fait : il me reste 45minutes (car le dernier tour n’est pas compté si il n’est finit) donc en marchant, cela me donne 15 minutes par tour donc éviter la blessure et assurer le coup à la marche. Un dj aurait hésité entre « la boiteuse » et « You’ ll never walk alone ». Grenouille m’accompagne pour le 149ieme et Vieux Lyon pour le 150ieme après avoir vérifié les comptes des km. Merci : cela m’a permis de mieux supporter la souffrance (qui est venu du haut du dos et de la nuque) et surtout de savourer. 
J’arrive à 18h28 à 150km ! 

18h28-18h36 : la délivrance ? 
Objectif atteint : cela fait 6 heures que cette barrière maintien ma motivation. Je m’assois et évoque la possibilité que malgré le temps restant cela soit finit. Lapinou n’y crois pas et me laisse ma puce pour éventuellement repartir. J’ai jusqu’à 18h45 pour me décider. 

18H36-18H46 : le tour d’honneur avec Margot 
Sa fille Margot qui aura passé toute la journée parmi nous et couru 10km à 10 ans est dispo pour faire un dernier kilomètre avec moi. Allez go : ce sera une belle conclusion et puis 51 au pays du Pastis, c’est un beau chiffre. On passe un tour tranquille à discuter et trottiner sur les 100 derniers mètres. Merci Margot. Il est 18h46 et là c’est fini : je rends ma puce et reçoit un magnifique trophée : une plaque en terre cuite faite maison. 

Applaudissement et agonie 
Il reste 14minutes : je m’assois et regarde en applaudissant les derniers concurrents en action donner ce qu’ils leur reste pour un dernier tour. Zeclown est de ceux là ! Il sera revenu de façon spectaculaire dans les dernières heures et finira à 146km. 
Un froid terrible est revenu avec le mistral, avec la nuit et la fatigue, cela gâche un peu la fin : je pense à me protéger et à partir à l’hôtel car il y a resto à 21h et je ne vois pas la remise des prix ni ne peux féliciter tout le monde comme ils le méritaient. Pardon. 
Un bilan au niveau physique : je n’aurais pas eu de problème de sommeil, ni de digestion, ni de crampes par contre ampoules sous la plante du pied gauche, ongle du gros orteil gauche décollé (et tout bleu aujourd’hui), et muscles du haut du dos et de la nuque très tendus à partir de la 22ieme heures. Donc rien de bien grave pour le mois prochain à Cernay. 
Finalement, la chanson retenu sera : « 151 je t’aime, j’en courais des kilo, à me rouler par terre, à chaque ravito » 

Merci à Jean Louis et Stéphanie, aux bénévoles, aux clm et aux coureurs/reuses 

Dédicacé aux personnes malades qui ne peuvent pas courir et à notre ami El PALMERO 

GILLES 

Angeline

Jean-louis Valderrama et Stéphanie Brusquet comment vous dire ??/tellement heureuse  d avoir étais  avec vous sur ce 24h vous êtes juste formidable une organisation de malade  des bénévoles au top un ravitaillo plus que trop  bon des runners tous trop sympa un moment inoubliable pour moi et Rachid !!!!

 

Cathy Mtc

24H de l espoir c est fini..... 24H dans le froid.... Mais la bonne humeur !!! des kms avalés pour l'association "espoir contre la Mucoviscidose" !! Et un podium pour le MTC :)
Merciiii a l AG2R, Malika Idri, Jérôme Baumgarden, Rita, Stéphanie Brusquet, Jean-louis Valderrama et a tous les bénévoles pour l orga et l accueil !! C était Au TOP
Et Merciiii a tous les cops du MTC (ou pas) pour votre visite, vos kms partagés avec nous et tous vos gâteaux ... Viennoiseries .. Pizzas Boissons chaudes etc..... ;)

 

Hervé

Parce que ce n'est pas parce que la course s'est mal passée, qu'il faut s'abstenir d'en faire le compte-rendu :-) Voici le CR de ma course « de 24 heures » (3 fois moins finalement en ce qui me concerne) de ce week-end :
http://www.normalesup.org/~seitz/CR_24h_de_l_espoir.pdf
Un grand coup de chapeau à tous les héros de cette histoire : Laurence, Sylvie, Christophe, Keltoum, Emmanuel, Jf, Jean-louis, Patrick, Loïc, Stéphanie, et tous ceux dont je ne connais pas le nom, mais dont les encouragements et les sourires m'ont accompagné pendant la course !

 

The Clown

Voilàààà, c'est finiiiiiiiiiiii 😭
24 h de L'espoir à Marseille, juste génial, de belles retrouvailles, de belles rencontres, une organisation au top avec des bénévoles aux petits soins pour les coureurs pendant 24 h, malgré le froid. Merci à toute l'équipe et Merci à Rita,Stéphanie Brusquett etJean-louis Valderramaa pour cette belle organisation 😍
Merci

 

Loic 

Ce week-end, je viens de vivre vivre une aventure inoubliable : les 24 H de L'Espoir au Parc Borély de Marseille. Une course organisée par les géniaux Stéphanie Brusquet et Jean-louis Valderrama, pour l'association Espoir contre la Mucoviscidose de Rita Caso. Avec une équipe de bénévoles incroyables : ils ont eu plus froid que nous qui courrions, ils n'ont pas dormi non plus et pourtant ils ont été disponibles à tout instant pour satisfaire nos demandes.
Le bonheur de retrouver les "anciens" et de faire connaissance des nouveaux (je ne peux pas citer tout le monde, je ne connais que la moitié des noms ..).
24H à courir en rond sur un circuit d'1 km. Pourquoi ? Juste pour le challenge : comment le corps va réagir à la fatigue et à l'absence de sommeil ?
En fait plutôt bien, les périodes de douleur (à pleurer) alternent avec celles d'euphorie. En général au même rythme que celui des "repas".
Dans ce froid polaire, je suis reparti avec une chaleur plus grande encore : Humaine.
De cette tribu qui a investi le parc à la nuit tombée.
De l'amitié de mes "élèves" coureurs qui se sont relayés toute la journée pour me soutenir.
Je repars avec le bonheur d'avoir fait une belle perf (pour mon niveau) gagnée au mental et beaucoup d'entrainement.

Pour finir : une mention spéciale à toute ma famille qui est venue m'encourager sur la dernière demi heure et trinquer pour la victoire : nous étions 23 Dupont, Ferraro, Tari, plus un Fénétrier (Brice Fénétrier qui s'est glissé dans la troupe).

Merci à toutes et à tous.

Vive la vie, vive la course à pied.

 

Francine

Voilà ça c'est fait , une course pris à la dernière minute mais aussi pour une bonne cause . contente d'avoir rencontré beaucoup amis , je pense qu ils vont ce reconnaître !
Petite joueuse je me suis mis sur le 12 heures , pris le départ avec un retard de 15 minutes après tout les autres , pas grave je suis la pour passer un bon week , le seule soucis il fait froid et il y a du vent nous sommes pas gâté !! Revenons à la course j'ai eu des hauts et des bas arrivée au marathon je ne pouvais plus bouger le bras gauche une douleur qui descendais au coude , je pense le froid été la cause parce que ce matin ça va mieux !! un grand merci à Jean-louis , Stéphanie et tout leurs bénévoles merci à vous !!
Je finirais 1er des 12 heures !

 

Domi

Petit résumé de ce 24H à Marseille sur un circuit de 1km :
- les 10 premiers tours : sur une base de 200kms...wouh !!! ♫♪♫♪
- les 10 suivants : sur une base de 180...pas grave y'a podium ! ♪♪
- les 10 suivants : sur une base de 150... c'est le vent qui me freine !
- les 10 suivants : il n'y a plus de base....la tête tourne sur ce manège !
- les autres tours : je commence à réfléchir.....il me faut 5 minutes en courant pour faire le tour et 20 minutes en marchant....pour ne pas augmenter ma folie intérieure, je vais marcher lentement ! :D

Une édition très froide et venteuse mais les bénévoles et les concurrents se réchauffent mutuellement.
Une organisation très bien rodée avec un ravito dantesque. (y)
Beaucoup de plaisir même si ce n'est vraiment pas mon truc.
MERCI à Stéphanie Brusquet et Jean-louis Valderrama pour leur accueil.
à une prochaine. ;)

 

Rita

Plus on partage, plus on possède. Voilà le miracle.
Las "24H de l'espoir 2015"... c'est terminé ... vive les "24h de l'espoir 2016" !!!!
Votre générosité, votre participation, votre disponibilité, votre présence, votre dévouement, votre amitié .....sont pour nous un soutien exceptionnel qui nous permet d'assumer le drame de notre vie et qui nous donne la force et le courage d'avancer et de ne rien lacher. M E R C I d'être près de nous.
Je pars pour 4 jours, je vous donne rendez-vous en fin de semaine pour vous présenter l'album de notre belle aventure.

 

Marino

Un beau rdv Clm grâce à Jean-Louis et Stéphanie et l'organisation des 24h de l'Espoir, contre la mucoviscidose.

Même si je n'ai pas compris grand chose aux différents repas notés sur le forum (mouarf), j'ai pris beaucoup de plaisir à participer au marathon. Un démarrage difficile, sûrement dû au froid :) mais ensuite, j'étais trop contente d'être là.

L'organisation est tip-top, on est chouchoutés. Merci Jean-Louis qui fêtait officiellement son 100ème marathon (mais bon, tout le monde connaît ton parcours :)), à Stéphanie, à la team Crocsman et à tous les bénévoles.

Et bravo à tous les coureurs bien sûr.

A refaire, peut-être sur une autre distance, pour voir comment ça fait :) :)

 

François-Xavier

Un week-end à Marseille inoubliable pour moi ! Je ne sais pas par où commencer, surtout dans l'état très occidental dans lequel je me trouve...
Bon, tout d'abord, d'un petit point de vue personnel, je parcours 188 km en 24 heures, ce qui me permet d'améliorer de 3 km mon record perso et de me placer deuxième sur le podium, derrière le très costaud Loïc Dupont et juste devant le très combatif David Briand, que j'avais le plaisir de retrouver dès le départ après notre rivalité "épique" aux 24h de Saint-Fons...
La course a pourtant été la plus dure de toute.. Il faut dire que j'avais trouvé le moyen d'oublier mes chaussures de compétition à la maison et de partir prendre le train et survêtement et chaussures de ville :-) Il faut aussi surtout dire que, malgré un entraînement substantiel cet automne, incluant une semaine à 200 km aux vacances de la Toussaint et un allègement progressif jusqu'à la course, je crois que j'avais atteint mon pic de forme annuel début octobre, soit un peu trop tôt, et que je ne pouvais pas le faire durer deux mois, surtout avec l'arrivée fatigante de l'hiver et avec également Le Spiridon Catalan ( course à pied) encore dans les pattes... Bref, quoi qu'il en soit, les jambes ont commencé à tirer beaucoup plus tôt que prévu, dès le 50ème km, sur les coups de deux heures du matin...
J'ai alors dû laisser Loïc s'envoler me prendre 10 km en seulement quelques heures et s'envoler vers la victoire... Combien de mois n'ai-je pas voulu me mettre à marcher, ou même me reposer une heure ou deux, voire abandonner carrément ! J'avoue qu'entre 6 heures et 12 heures de course, j'avais renoncé à tout record perso, à toute idée de podium (surtout que j'avais mal compris les classements donnés chaque heures, qui mêlaient les coureurs en équipe, évidemment plus rapides, et les coureurs individuels, comme bibi) !
Mais le "miracle" s'est produit, inespéré, à la 13ème heure de course :-) Le soleil radieux effaçait la nuit glaciale (avec le vent, un ressenti à -7° d'après la météo !)... Un ciel sans nuages venait me murmurer le fameux poème de Mallarmé... Celui qui martèle le mot azur, qui parle de cervelle vidée, et qui dulcifie le dépit te demandant : "Où fuir dans la révolte inutile et perverse ?"
Bref... J'ai vite oublié Mallarmé... La douleur avait disparu ; le souffle me revenait, et même l'envie de bavarder ( Anacoluthe! s'exclamerait le capitaine Haddock!)... C'est ma dernière grande course avant longtemps ! Effectivement, je précise qu'en prévision d'une hausse prochaine de 33,3% de ses effectifs, le ministère de ma petite famille a prévu de réduire drastiquement les RTT sportives de son secrétaire d'état à la paternité, au moins en attendant que la crèche de Vincennes soit en mesure d'accueillir notre n°2...
Et donc les pensées "positives" me ravivent, électrisent mes jambes, et je décroche David, qui venait pourtant de reprendre les 3 kilomètres de retards qu'il avait sur moi, exactement comme lors de notre premier 24 heures ! C'est là que j'apprends que je suis potentiellement deuxième... À ce moment, je reprends même 2 kilomètres à Loïc, qui fait la course en tête... Mais il en compte 10 d'avance, il ne faut pas rêver, même si cela peut donner des ailles, comme à Icare (Horne de son nom de famille, vous savez bien... Je n'arrête pas de demander à mes élèves où il est, ce con... Mais où est donc Horne Icare ?).
Les dernières heures sont terribles. La douleur est revenue, décuplée par le manque de sommeil. Mais le circuit est chouette, avec l'odeur de la mer, l'élégance du Parc Borely, des petites montagnes à deux pas, et l'ambiance est terrible ! Les organisateurs Jean-louis Valderrama & Stéphanie Brusquet s'y connaissent en matière d'ultra et savent y faire :-) Un grand merci et deux grands chapeaux à eux ! Si, si, ils aiment les chapeaux ! Et puis, nous courons tous pour une bonne cause, contre la mucoviscidose ! Nous sommes beaucoup de coureurs (50 sur le 24h, plus tous ceux des différentes équipes de relais, des deux courses de 12 heures, des deux courses de 6 heures, et du marathon littéralement survolé par Franck Derrien, qui n'a pas manqué de m'encourager à chaque fois qu'il me passait devant... Bravo à lui!). C'est vraiment génial, car il y a vraiment tous les types de coureurs : il y a même des marmots qui courent pour accompagner leurs parents et qui vont à la même vitesse que toi qui finit ta 22 ou 23e heures de course :-) ! Comme sur la plupart des cent-bornes du circuit, il y a Etienne Poignant qui carbure à la bière et à la fumette, et qui me passe devant, un coup torse-poil, un coup avec trois polaires sur le dos :-) On arrive encore à se marrer : c'est bon signe ! D'ailleurs, quand il n'est pas là, c'est sûr qu'il manque ce petit supplément d'âme à la française (tu me diras, en Russie, j'ai vu de la vodka sur un ravito de trail de 100 km)... D'ailleurs, un peu plus tôt dans la course, j'ai même trouvé à parler en russe, puisqu'il y l'habitué du Spiridon Catalan, Paris Canal (avec son maillot sur laquelle est écrit le prénom de ma femme en cyrillique ИРИНА !!!) et sa compagne russe Irina ! Bref, pour revenir à l'inénarrable Etienne, c'est lui qui s'est chargé de me trouver à manger dans la nuit après la course, quand je n'étais plus capable de sortir de l'hôtel ineffable où nous avions atterris après la course... Merci vieux ;-) L'hôtel était pourri, mériterait tout un roman, mais après une telle course, ça restera un bon souvenir !
Et donc, en substance : 188 km ! je n'avais jamais couru autant, je ne suis pas sûr de courir un jour plus, 2e d'un beau podium :-) Avec la fierté d'avoir permis de récolter de l'argent pour l'association "Espoir contre la mucoviscidose", puisque pour chaque km parcouru, Ag2r la mondiale, partenaire de l'épreuve, reverse 5 euros à l'asso, ce qui est vraiment cool et donne vraiment envie de parcourir le plus de km ! Heureusement qu'il y a ce genre d'événement, comme le téléthon la semaine prochaine, la NoFinishLine la semaine dernière, au terme de laquelle le seul Alexandre Forestieri a dû permis de lever en faveur d’enfants défavorisés ou malades 909 euros en autant de km parcourus (encore un immense bravo en passant, Alex!), ou encore les go'fast pour Fanny qu'organise Juan Carlos Pradas : c'est vraiment une chance formidable de pouvoir donner du souffle à ceux qui en ont besoin ! C'est tout simplement bien. Tous les coureurs, quel que soit leur niveau, peuvent participer à ce genre d'événements. Il faut juste rendre hommage à ceux qui les organisent et les rendent possibles. En l’occurrence, encore bravo Lapinou et JL ! Bravo à tous les bénévoles qui nous ont assistés, et n'ont pas radiné en sourires chaleureux et en encouragements ! Quelles que soient mes contraintes familiales, je ferai tout pour revenir l'année prochaine !

Et maintenant quel bonheur de retrouver mes merveilles à la maison, Irina & Evguénia ! Leurs beaux sourires viennent à bout de toutes les fatigues :-)

 

Greg

24 heures de l'Espoir à Marseille...Si j'ai donné un peu d'espoir à Rita et aux organisateurs j'ai reçu beaucoup d'amitié en échange. Si j'ai souffert du froid, du vent et du manque de motivation, j'ai reçu beaucoup de soutien et d'assistance des bénévoles...Si j'ai couru comme une "bouse", j'ai quand même eu droit aux pensées et aux encouragements de ma femme et des amis. Mon dixième 24h, la dernière course de l'année et sûrement mon dernier 24 heures avant un moment...j'ai tout donné (vraiment tout, je vous le jure) et j'ai reçu encore plus. Merci beaucoup à ceux qui me soutiennent, je vous aime.

 

Fred

24h de l'espoirs
En 1 organisation au top !!!!
Et encore en 1 bénévole et ravito au top personnellement blefflé

Impossible de trouver l'envie, je n'arrive pas a me mettre dans la course et pourtant aucun problème musculaire ou de pied ou de gêne rien du tout.
je continu à tourner et très vite vers 1h du matin je suis rattraper par une envie de dormir et le froid arrive oui j'ai froid et pourtant je porte du très chaud sous vêtement Manche longue technique par dessus une polaire manche longue un coupe vent par dessus une polaire manche courte un buff et bonnet des gants et petit matin je rajouterai un gore tex en plus et des chauffret dans les gants.
J'ai lutter reste sur la piste et quand j'ai vue que de toute façon j'irais pas chercher de record personnel et que le vent sa levait je me suis mis a marcher avc les copains et discuter c'est pas souvent que l'on a le temps, j'aurai pu tout plier et rentre mais bon on est la on fini a la cool.
Super contant d'avoir revu pleins de monde assistée de mains de mettre par ma fille a qui je pu faire partager ma passion du long rentre dans notre intimité et voir qu'il n'y n'a pas que sont papa qui est comme ça :)
Dsl parti un peu vite mais quand j'ai trouver une voiture pour remonter a montera l'hôtel plutôt que a pied j'ai pris :)

 

Ronan

J''avais promis à Jean-louis que je viendrai un jour courir son épreuve.. Parole de breton.. Parole tenue.
Engagé sur le 6 h plus pour le plaisir que pour la perf. Personne ne me croyais sur mes intentions .. J avais annoncé un marathon .. La encore promesse tenue je m arrête au marathon de 43 km.. Et ensuite j ai enfile mon costume de coach et à dispo pour Cathy.
Un plaisir de retrouver tous nos amis coureurs de long et un peu moins long.. Et faire la surprise a Thierry Michel, qui me croyait à Nantes 😂.
Merci Jean Louis pour cette organisation en toute simplicité.. Et je dois dire que ç est à mon sens le plus beau parcours d une course horaire à laquelle j ai pu participer.. Je reviendrai ç est certain... Ps : prochaine fois tu peux décommander le mistral 😂

 

Thierry_flo

Troisième course et troisième podium cette année pour flo .Cette fois ci sur les 6h de marseille. 51km en courant. Marcheuse et coureuse , encore une femme qui dépasse son mari...après 6 mois de course à pied. Coacher une championne est très agréable et renforce l'humilité. Quand je me tape sur la poitrine en grognant pour terminer certaines courses. ..elle ne se plaint pas dans la douleur ,avance toujours ,garde son rythme et sourit à l'arrivée. Total respect !Mention spéciale à notre copine Cathy Gimondo,taillée dans le même bois !

 

Greg

CR 24 HEURES DE L'ESPOIR MARSEILLE. Courses horaires (6, 12 et 24 heures) et « Marathon de Crocs-man ». Venez courir pour la mucoviscidose, seul ou en équipe ! Mon dixième 24 heures. A l'issue de cette épreuve, plusieurs sentiments sont mêlés. Un mélange donc, d'insatisfaction, de lassitude mais aussi de joie et de plaisir de courir. L'insatisfaction est liée à ma piètre performance avec un départ trop rapide pour les 3 premières heures, une course réalisée sans aucune concentration, laissant mes pensées divaguer quand j'étais seul. Juste une sorte de contrariété purement sportive et égocentrique, finalement, c’est sans grand intérêt. La lassitude vient du fait même de ce genre de course, la course horaire est un combat pour moi. Il n'y a pas d’autre moyen de faire bien que de rentrer en guerre contre les kilomètres et le chrono. Le plaisir est alors incompatible avec toute « décontraction ». Et quand ma disponibilité auprès des autres coureurs devient limitée, je cours plus loin mais je rate l’essentiel. Bizarrement, cette lassitude ne vient pas du circuit. Je l’ai trouvé différent à chaque tour. A la faveur de la luminosité ou de la fréquentation, il change du tout au tout. En journée, il est très fréquenté, les Marseillais y viennent pour leur footing ou pour une ballade en famille. Alors que la nuit, le silence l'habille et la pénombre le rend même étrange. Mais, ce qui est l’essentiel et qui est encore présent dans ma tête aujourd’hui, c’est tout simplement la joie, surtout celle des rires échangés avec les amis proches et les autres forçats. A chaque tour, je me délecte de nos discussions sur notre passion, celles à bâtons rompus, celles plus minimalistes, celles sans queue ni tête et toutes les autres qui sont juste délirantes. Cette joie, c’est de la communion entre coureurs, ce fameux "truc à nous" qui met un sourire sur nos visages, qui envoie un regard compatissant à celui qui galère, ou qui prend l’apparence d’un simple clin d’œil, plein de connivence. Et puis, il y a tous les bénévoles, ils sont parfaits, des gens attachants et prévenants, comme des mères pour nous.Pour finir, il reste le plaisir de courir. Il existe bel et bien. Mais lui, il est toujours un peu fugace car il n’excède jamais quelques kilomètres. Il flotte à côté de nous et, parfois, il rend notre foulée gracieuse et presque belle à voir. PS : Sortie du jour en mode décrassage: 10 km et 120 m de D+. Mes jambes m’ont juste dit « C’était bien les 24 heures de l’Espoir ! on y retourne en 2016 ? »

29 novembre 2015

Photos

Vous pouvez m envoyez vos photos sur cette adresse : jlvalder@gmail.com

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29 novembre 2015

Résultats des 24h de l'ESPOIR

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6h de l'Espoir
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